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D’azur à l’épée d’argent, garnie d’or, la pointe en bas, à la fasce d’argent chargée de trois coquilles de gueules brochant sur le tout.
Son histoire, ses origines.
 
Ancienne terre des Comtes de Verdun, marange apparait sous le nom de "Madrangias" en 972 et "Madringes en 997.
A l'époque, Marange est déjà un village constitué, puisqu'il possède une église (dédié à Saint Clément).
Administré par une co-suzeraineté, Bar et Luxembourg, une partie de Marange devient au XIVéme siécle, une enclave luxembourgeoise, rattachée à la Prévôté de Thionville.
Marange est bourguignon puis espagnol au début du XVI siécle.
La configuration du village atteste encore de son rôle défensif face à Metz et au duché de Lorraine - Bar. Situé sur une butte de part et d'autre d'une rue à l'entrée du village, se trouve l'église fortifiée, à la sortie la maison forte ( le chateau).
Marange devient français en 1659 par le traité des Pyrénées.
Marange et Silvange seront réunis par décret impérial du 29 septembre 1809. A cette époque, le village comptait 915 habitants, 115 ha de vignes et 10 pressoirs à bascule.   Les habituels pommiers de vignes sont ici remplacés par des pruniers portant des petits fruits violets à peine plus gros que des mirabelles appelés "Les Maranges".
Le dernier quart du XIXéme siécle, verra la fin progressive des activités rurale: arrêt des quatres moulins situés sur le ruisseau Billeron, abandon de la vigne, diminution des activités agricoles. l'émergence de l'activité minière à Ternel puis sidérurgique à Hagondange et Maiziéres les Metz a évité l'exode rural.
Marange Silvange